Tout le monde attendait dans le cabaret encore clos, tôt dans l'après-midi. Les personnes présentes avaient pris place sur les chaises et les tables luxueuses qu'offrait cette endroit magique marqué par les années d'après-guerre. Ils attendaient tous, chacun ayant reçut une convocation pour se rendre à cette réunion de dernière minute. Ils étaient bien sûr payé pour leur déplacement.
Hagi était devant la porte, attendant que son stress s'évanouisse. Ce prit un petit moment et il se tint droit, posant la main sur la poignée. Il entra, et sous le regard de tout ses employé, il tenta de ne pas flancher. La gravité semblait vouloir l'entrainer dans les flammes de l'enfer. Il respira un bon coup, et monta sur la scène.
"Je vous ai tous demandé de venir pour une chose importante. Jusqu'à maintenant, j'ai fais de mon mieux pour ne pas être pourris par n'importe qu'elle nuisible, que ce soit nos partenaire, les puristes, les yakuzas. Bien sûr, le marché du Club ne peut pas avancer sans eux, mais il faut faire attention à ce qu'ils ne prennent pas trop de terrain. En gros, je vous ai protéger, comme je me suis protéger, mais il y a des choses qu'on ne peut éviter. On n'en parle pas, ou tout bas, mais tout le monde sait que la capitale est tiraillé entre deux mafia motivées et vicieuses.
Je suis dans le regret de vous informé, que je fais parti activement d'un des deux clans, malgré moi. Les yakuza sont les rois sur ce terrain, mais les voilà devancé par ces enfoirés de Coréen. La Triade va se faire une place ici, posté des hommes, aller et venir sans que les yakuza n'ait rien à dire. Je leur ai vendu les parts de nos protecteurs. Nous avons changé de pays, pour des ingrats ! Je suis désolé. Je n'ai pas vraiment pu choisir librement. Leur contrat vous force à signer. Je vous serai grée d'être agréable avec eux et de ne leur chercher aucun problème. C'est leur nouveau lieu, leur club. Nos compatriote risquent d'être plus énervé et violent. On nous dit qu'on assurera notre sécurité. J'attends de voir.
Sur ce, merci de m'avoir écouté, continué de travailler, et faire comme si de rien n'était. Faîte attention à vous, vous me coûter cher..."
Sur ces derniers mots, Hagi quitta la salle, sans attendre les questions, ni les revendications. Dans le fond, il s'en moquait. Qu'ils ne soient pas d'accord étaient un fait. Ils n'avaient qu'à partir, les CV inondaient son bureau et sa boîte mail. Il n'aurait qu'à chercher des remplaçant et il n'en manquait pas. Leur avis contre la vie de sa famille, c'était pas imaginable trente secondes.