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 Dylan Shepard

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Dylan Shepard
- Admin -
Dylan Shepard


Masculin Nombre de messages : 300
Age du perso : 22
Orientation Sexuelle : Bi
Date d'inscription : 04/01/2008

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MessageSujet: Dylan Shepard   Dylan Shepard EmptyLun 25 Oct - 22:59

• Identité •

° Nom : Sherpard
° Prénom : Dylan
° Surnom : Death
° Age : 22 ans
° rang : Habitant. Etudiant.
° Sexualité : Bisexuelle

• Physique •

° Description : D’origine américaine, il a eu la chance d’avoir des traits du monde entier grâce à ce pays cosmopolite. Des yeux bleus, très clair, des traits fin avec toujours un petit air farouche et « tête à claque » le tout monté sur un menton assez carré pour s’imposer d’un simple regard. Il était blond de base, mais se déteignait les cheveux jusqu’au blanc à l’aide de shampooing pour personnes âgés. Il est assez grand, mesurant au moins un mètre quatre vingt, et il s’est musclé à force de se défendre dans la rue. Il avait juste ce qu’il fallait, pas trop, ni pas assez. Pour son allure, c’est un adolescent qui se tient très mal, pas réellement droit et qui a la mauvaise tendance à trainer des pieds.
° Goûts vestimentaires : Il va au plu simple, mais ce qu’il préfère, un bon vieux jean déchiré, des rangers ou une bonne paires de basket montante, avec un marcel, un sweat et un bon blouson en cuir.
° Signe distinctif : Il a pas mal de cicatrice, étant battut par son père ou par les gens de l’extérieur. Il a un tatouage à l’intérieur de l’avant bras où il est écrit en lettre gothique « To kill or to be killed », et sur le pectoraux gauche, le nom « Lizy », le surnom de sa sœur jumelle.

• Psychologie •

° Généralité : C’est un jeune homme qui n’est pas bien psychologiquement. En cours, il est calme, à partir du moment ou il a un crayon dans la main et qu’il dessine. Sinon, il est susceptible et paranoïaque. Il a toujours l’impression qu’on le provoque ou qu’on le traite comme un moins que rien. Il va toujours souvent s’énerver, insulter voire taper les gens. Il n’a pas froids aux yeux et il lui arrive de prendre des risques. Mais si on creuse un peu, c’est quelqu’un de gentil et quand il vous considère comme un ami, il faut vraiment abusé de sa patience pour qu’il brise ce lien.
° Vices : le lait, les bagarres, ressentir la sensation de mourir : de s’étrangler la plus part du temps.
° Peur : de dormir.
° Aime : le lait, le dessin surtout à l’aquarelle, le hard style, les pogo dans les concerts, le pop corn et allé au cinéma, cela va de soit.
° Aime pas : l’alcool, qu’on le trahisse, qu’on l’humilie.
° Sociabilité : Pas très sociable. Il a plutôt tendance à agresser les gens même si on ne l’y pousse pas.


• Histoire •

° Passé :
L’histoire de Dylan est le parcours classique d’un américain extirpé d’une vie précaire, qui se retrouve dans une prison pour jeune criminel.

Il est né en hiver et pas seul. Une sœur pointa le bout de son nez le même jour que lui. Ils étaient de faux jumeaux. Ils étaient aussi les seuls de la famille, puis d’avoir grandit ensemble dans le même ventre les lia profondément. Il l’adorait plus que tout et elle aussi. L’un ne pouvait vivre sans l’autre, ils étaient l’un pour l’autre, le petit rayon de soleil dans les ténèbres où ils avaient grandit. Ils étaient toujours dans la même classe pour éviter une scène de larme, pour s’asseoir à table, toujours à côté, chez le médecin, c’était pareil et même pour aller se balader dehors ou aller chez un ami, toujours ensembles.

C’était donc le tableau typique d’un cadre familiale qui le prédisposait à son avenir de délinquant, voire de criminel. Sa mère avait fuit le domicile vers ses dix ans. C’était une femme battue qui ne supportait plus un mari qui n’était jamais autrement que saoul. Ouvrière, elle n’avait pas assez d’argent pour s’occuper d’enfant qu’elle ne souhaitait même pas mais qu’elle n’avait pas eu le cœur de tué en faisant une IVG. Une fois partie, le père s’en prit à ses enfants, mais surtout Dylan. Il comprit enfin la douleur de sa mère. Il se faisait tapé pour n’importe qu’elle raison : une mauvaise note, un verre de cassé, une blessure lors d’un jeu avec des amis, quand il rentrait à la maison après une sortie, quand les yankees perdaient. Vers ses 16 ans, il entra dans un groupe de skin head et s’amusait à frapper sur des innocents, des gay, ou des juifs, noirs, etc. Il n’avait rien contre eux, mais de recevoir tant de violence gratuite, il s’en devait d’en donner. Il resta avec qu’eux qu’un an, lais il se gonfla d’hors et déjà un bon casier judicaire. Sa sœur était restée sage, mais complètement renfermée sur elle-même. Elle ne parlait qu’avec son frère, surtout quand elle passait son temps à soigner ses blessures. Quant à lui, il lui frottait la peau pendant des heures sous la douche. Il frottait si fort qu’elle en ressortait toute rouge. Le père avait des mains violente avec Dylan, mais bien trop tendre et perverse avec Lisbeth.

Puis un jour, il rentrait d’une soirée. Sa sœur n’était pas venue, elle avait refusé. C’était la première fois en 16 ans. Il aurait du le prévoir et comprendre ce qui se passait ! Dans le salon, la télé crépitait et pour seul spectatrice une bouteille de bière. Il souffla et entendit comme des gémissement, mais plus proches des larmes. Il grimap les marches quatre à quatre. La porte de leur chambre était grande ouverte. Il hésita un moment avant de s’avancer. La première chose qu’il vit, était les pieds de sa sœur pendant dans le vide, inerte. Elle s’était pendu, accrochant à la lampe, l’alimentation du poste de radio. Il resta un long, très long moment à voir ce cadavre qui était entre ciel et terre. Il finit par s’adosser contre la porte, les larmes coulant tel un torrent sur son visage. Son père était à genoux et pleurait aussi tout son saoul. Cela l’énervait plus que tout. Il le poussa violemment de son pied en l’insultant, le nommant seul responsable de sa mort et qu’il le dénoncerait à la police. Le père ne sut répondre qu’avec une gifle monumentale. Dylan en roula sur le sol. Il se releva et vit rouge. Sans vraiment s’en rendre compte, il attrapa son skateboard et se jeta sur son père en hurlant. Il l’assena de coup jusqu’à la mort. Il s’acharna même encore après avant de se calmer et de réaliser ce qu’il venait de faire. Essoufflé et perdu, il décrocha Lizy de la lampe et le serra contre lui, tout en appelant la police.

_Ma sœur s’est suicidée… Aidez moi, s’il vous plait …

Une fois arrivé sur les lieux, les forces de l’ordre furent surpris qu’il n’y avait pas qu’un seul mort, mais deux et au milieu, un jeune homme au regard perdu. On lui demanda simplement ce qui était arrivé à leur père et il répondit simplement.

_Je l’ai tué … Comme il a tué ma sœur …

Il se retrouva donc par la suite dans un centre pour jeune criminel. Jugé une première fois pour homicide volontaire, il eut pas mal de séance avec un psychiatre dans son centre. On conclue qu’il avait été jugé bien trop vite et on fit appel pour son cas. Avec l’appuie du professionnel et surtout l’assurance qu’il allait mieux, il n’y resta que 5 ans. On l’avait cette fois-ci jugé en étant un enfant psychologiquement sensible. Dans cet établissement, il se construit. Les premières années, il n’avait fait qu’être seul et se battre sans arrêt avec tout les pensionnaires et ensuite, il se fit quelques amis. Tous des têtes brûlés.

Puis, il y en avait un. Il était particulier. C’était lui qui lui avait donné le gout du dessin et qui lui avait fait ses tatouages, tout comme son expérience sexuelle. Il était comme les deux doigts de la main. Un feeling passait parfaitement entre eux, et tout comme avec sa sœur, quand l’un commençait une phrase, l’autre la terminait. Puis, un jour, ce jeune homme qui était comme son mentor débarqua dans sa chambre. Il sursauta et l’avait attrapé à la gorge. Puis un doigts se posa sur ses lèvres avant que ce soit une bouche passionnée. Il l’avait aimé, comme on aimait son premier amour et le fait de vivre caché rendait leur relation que plus profonde. Leur amourette se finit simplement. L’homme à sa majorité fut jugé une nouvelle fois et il n’eut le droit que de retourner dans son pays, la Russie. Il n’avait pas la nationalité américaine et vu ses actes, on le retourna à son pays. Il ne voulait pas que Dylan reste accroché à lui, car la chance qu’il puisse se revoir était minime. En attendant, pour continuer de penser à ce jeune homme, il écoutait un artiste qu’il lui avait fait découvrir. Shun Shiroi. Une raison qui l’amena au Japon, sauf qu’il avait juste prévu assez pour un allé, pas de retour et son talent d’artiste pour survivre. Il eut la chance d’avoir une entrée dans une école de dessin qu’il payait en trouvant des petits boulots. Pourquoi pas au Chocolate …


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